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Spiritualité vivante à visage humain par Dr Ahmed Elouazzani Août 22, 2012 // Spiritualité // RédacteurMohammed (Paix et Salut sur lui) est le Messager de Dieu[1] envoyé à tous les humains quelque soient leur couleur de peau, leur langue, leur race ou encore leur statut social. Physiquement et moralement doué, le Prophète (Paix et Salut sur lui) est le plus parfait homme qui ait pu exister. Comment ne pas le respecter et l’aimer ?
Dieu dit : « Pour quiconque espère en Dieu et au jugement dernier, le Messager de Dieu est un exemple parfait. ».[2]
Les musulmans sont les premiers invités à redécouvrir cette méthode prophétique, cette aspiration spirituelle et cette bonté de cœur, les secrets de sa pédagogie et de son éducation, cette volonté qui l’habitait, qui l’animait, le sens de sa marche et l’essence de sa voie, afin de les contempler, les méditer, les consentir, les suivre sympathiquement dans les grands domaines de la vie comme dans ses moindres détails.
La présence musulmane dans le monde va irriguer de plus en plus la conscience de l’humanité qui deviendra attentive aux valeurs et au Message que le Prophète (Paix et Salut sur lui) nous a délégués.
Beauté de l’âme
Le Prophète (Paix et Salut sur lui) est décrit dans les livres des révélations antérieures :
« Je vais t’envoyer un Prophète illettré, qui n’est ni rude ni grossier, ni crieur dans le marché, ni orné par la perversion, ni obscène. Je l’orne par tout ce qui est beau. Je lui donne un caractère noble. Ensuite, je ferai de la Sakina (la tranquillité sereine) son habit, de la bonté son étendard, de la sagesse son esprit, de la véracité sa conduite, de la vérité sa loi, de la guidance sa direction, de l’islam sa religion et de Ahmed son nom ».[3]
Décrivant le Messager de Dieu (Paix et Salut sur lui), Oum Ma’abad Al-Khuza’iyya a dit :
« Il est d’un éclat manifeste, son visage est rayonnant et d’une moralité sublime…Son silence le drape de majesté, son parler de splendeur, vu de loin il apparaît comme le plus beau des hommes, de près il est davantage.[4]
Ali, son cousin, l’a décrit ainsi :
« Entre ses épaules, se trouvait le sceau de la prophétie, il était le plus généreux, le plus brave et le plus sincère des hommes.
Il était le plus respectueux de ses engagements, le plus doux et le plus sociable. Celui qui le voyait inopinément, éprouvait une crainte révérencielle à son égard. Celui qui le fréquentait, l’aimait. Celui qui le décrivait, disait : « Je n’ai jamais vu un homme semblable à lui. ».[5]
Anas Ibn Malik a dit :
« Lorsqu’il mourut, il n’avait pas sur sa tête et dans sa barbe vingt poils blanc ».[6]
Al Baraa a dit « Je l’ai vu portant une tunique rouge et je n’ai jamais vu quelqu’un de plus beau que lui ».[7]
Jabir Ibn Samoura a dit :
« Je l’ai vu durant une nuit de pleine lune. Tantôt je le regardais lui, tantôt je fixais la lune. Mais il surpassait en beauté la lune »
Il ajoute : « jamais il ne riait aux éclats, se contentant de sourire. Le voyant, on disait : il a les yeux d’un noir foncé et pourtant ils ne sont pas peints de Khôl ». [8]
Jabir précise en disant : « Il passa sa main sur ma joue, elle était froide et il s’en dégageait une telle senteur que l’on pouvait penser qu’il venait de la sortir d’un sac de parfum ».[9]
Anas a dit : « Je n’ai jamais touché de soie ou de satin plus doux que la paume de la main du Prophète et je n’ai jamais respiré un parfum ou une odeur plus suave que le parfum ou l’odeur du Prophète ».[10]
Qualités sublimes
Le Prophète (Paix et Salut sur lui) était le plus respectueux de ses engagements, le plus respectueux de ses liens de parenté, le plus clément, le plus doux avec les gens, le plus sociable et le plus poli. Le louant pour sa moralité, Dieu dit : « Et en vérité, tu es d’une excellente moralité ».[11]
Son éloquence était surprenante. Il avait la faculté d’exprimer beaucoup d’idées avec peu de mots. Toutes ses paroles étaient des perles de sagesse inimitable. Ses phrases se distinguaient par la clarté et la sobriété, ses mots étaient bien cadencés. Oum Ma’abad Al-Khuza’iyya a dit :
« Ses paroles sont agréables, ordonnées, dépourvues de tout mot superflu …»[12].
La patience, la persévérance, l’endurance et la longanimité étaient ses qualités, son indulgence ne cessait d’accroître face au mal des injustes.
Khadija bint Zayd a dit :
« Il était souriant, silencieux et ne parlait pas sans nécessité. Il se détournait de ceux dont le parler était grossier ou impoli. Il était le plus humble des gens, dépourvu de toute arrogance, interdisant aux gens de se lever pour lui. Il s’asseyait avec les pauvres, acceptait l’invitation des esclaves et se mêlait à ses compagnons. » [13]
Aicha a rapporté qu’il réparait lui-même ses sandales, cousait ses vêtements, participait aux tâches ménagères. Il nettoyait ses vêtements, trayait la brebis et assurait son propre service. [14]
Anas rapporte : « Je l’ai servi en voyage et chez lui ; par Dieu ! Il n’a jamais dit pour une chose que j’avais faite « pourquoi as-tu fait ceci ? », ou pour une chose que je n’avais pas faite : « Que n’as-tu pas fait cela ? ».[15]
Aîcha a dit : « Le Messager de Dieu n’a jamais frappé de sa main un serviteur ou une femme ».[16] [17]
Prophétie et universalité
Le Prophète (Paix et Salut sur lui) a dit à son sujet : « Par rapport à mes prédécesseurs les Prophètes, je suis comme si quelqu’un a construit une demeure et l’a embellie. Seule, la place d’une brique est restée vacante. Les visiteurs contemplant la beauté de l’édifice disaient : Dommage ! Pourquoi n’a t-on pas mis cette brique ?
Eh bien, je suis cette brique ! je suis le sceau des Prophètes ».[18]
Le Coran vénéré constitue le miracle éternel, le plus éclatant du Prophète. Le Prophète (Paix et Salut sur lui) a dit :
« Tous les Prophètes avaient à leur actif des miracles qui, une fois accomplis, incitaient les gens à croire à leur message.
Ce qui m’a été accordé est un Livre révélé. Ainsi, j’espère avoir, le jour de la Résurrection, plus d’adeptes que les autres Prophètes .
Je suis le meilleur enfant d’Adam, le jour de la Résurrection. Mon tombeau s’ouvrira le premier, je serai le premier qui intercèdera en faveur des humains auprès de Dieu et le premier dont la demande sera satisfaite ».[19]
Dieu lui a octroyé des privilèges exclusifs dans ce monde et dans la vie éternelle. Sa mission principale est de rapprocher les gens de leur Seigneur et de parfaire leur caractère pour construire sur terre une société de fraternité et d’échange « Oumran akhaoui » et d’achever les missions antérieures.
De surcroît, le message du Prophète est destiné à tous les humains, de toutes les époques. Le Prophète (Paix et salut sur lui) a dit :
« Je suis avantagé par rapport à mes prédécesseurs, par six privilèges :
-J’ai le don d’inclure dans peu de mots des sens de grande portée.
-La peur qu’ont mes ennemis de moi, m’accorde la victoire.
-Il m’a été permis de jouir du butin.
-Toute la terre m’est un lieu propre pour faire la prière.
-Mon message est universel.
-Je clos toute prophétie »[20]
Ce privilège et cet honneur lui ont été attribués, bien avant sa naissance depuis la création de notre père Adam. « Je suis le serviteur de Dieu et Son Prophète, dit le Prophète, j’y étais prédestiné alors même qu’Adam était étendu inerte dans sa forme d’argile ».[21]
Aspiration spirituelle et vie du cœur
L’amour du Prophète (Paix et Salut sur lui) est une partie inhérente à la foi musulmane. Chaque circonstance de sa vie est un modèle à suivre. Sa vie entière fut une adoration. Durant ses longues nuits de prière, sa femme Aïcha lui demandait la raison de ses pleurs, alors que Dieu lui a pardonné ses péchés antérieurs et postérieurs, il répondit : « Ne dois-je pas être un serviteur reconnaissant ? ».[22]
Les compagnons du Prophète (Paix et Salut sur lui) qui étaient attentifs à chacun de ses mouvements, ont rapporté tous les détails sur sa conduite, dans toutes les circonstances : le jour comme la nuit, en période de paix comme en période de guerre, durant des instants de bonheur comme pendant ceux qui suscitaient du chagrin et de l’émotion, en public et en privé.
Aîcha a dit : « Je jure par Dieu tout Puissant, que plusieurs fois dans sa vie le Messager de Dieu faisait sa prière alors que j’étais allongée entre lui et la Qibla. Bien des fois mes jambes étaient devant lui et il me faisait un léger signe, en me touchant légèrement, pour lui laisser un espace pour la prosternation »
Le Prophète (Paix et Salut sur lui) disait dans son invocation « Mon Dieu je te demande le plaisir de regarder Ta face et l’ardent désir (shawq) de ta rencontre ».[23]
Le rayonnement spirituel du Prophète (Paix et Salut sur lui) était si fort qu’un de ses compagnons, Ibn Abbas, disait : « Un seul regard sur le Messager de Dieu vaut mieux que quarante années d’adoration ».
Les compagnons jouissaient de sa présence qui était pour eux une lumière à suivre. Mohammed était un Coran vivant, un enseignant plus par son comportement que par ses paroles.
Le jour où Dieu rappela son fils Ibrahim, les yeux du Prophète coulèrent. « Qu’est ce que cela » ? lui lança un compagnon.
« Ces larmes, lui répondit-il, c’est une bonté que Dieu a mis dans le cœur des serviteurs de Son choix. Dieu est bon avec ceux qui sont bons »
Il était rayonnant par la lumière foisonnante et jaillissante qui se dégageait de son visage béni à tel point que ses compagnons le qualifiaient de « pleine lune ».
‘Alqama raconte : « J’ai demandé à Aicha, que Dieu l’agrée : « Le Messager de Dieu, choisissait des jours particuliers [pour l’adoration] ? » Elle dit : « Ses oeuvres étaient continues, et qui de vous peut soutenir ce que le Messager de Dieu pratiquait ? »[24] »
La pédagogie de l’amour
Dieu a ordonné à tous les musulmans d’obéir au Prophète (Paix et Salut sur lui) et de l’aimer en disant :
« Dis leur : si vraiment vous aimez Dieu suivez ma voie Dieu vous aimera et effacera vos péchés ».[25]
Un bédouin est venu voir le Prophète et lui dit « Ô Prophète ! quand l’heure viendra-t-elle ? Il lui répond : « Qu’as–tu préparé pour sa venue ? » L’homme dit : « Pas beaucoup de prières ni de jeûne sauf que j’aime Dieu et Son Messager » Et le Prophète de dire « l’homme est [sera ressuscité] avec ceux qu’il aime ». En rapportant ce Hadith, Anas le compagnon ajoute : « Nous n’avons jamais été autant heureux que lorsque le Prophète a dit : « Tu es avec ceux que tu aimes. » Et moi j’aime le Prophète, Abou Bakr et Omar et j’espère être avec eux de par mon amour pour eux bien que je n’aie pas œuvré autant qu’eux. »[26]
L’envoyé de Dieu a dit : « Je jure par Celui qui détient mon âme que personne parmi vous ne peut être vraiment croyant (moumin) que s’il m’aime plus que ses enfants, ses parents et tous les humains »[27]
Entendu ce Hadith, Omar a dit « Ô envoyé de Dieu, je t’aime plus que mes enfants, mes parents et tous les humains à l’exception de moi », le Prophète s’adressant à Omar Ibn Al-khattab dit « Non, tant que je ne serais pour toi plus cher que toi-même » .
Omar se rattrapa et corrigea ses propos en disant : « Ô envoyé de Dieu, je t’aime plus que moi-même, mes enfants, mes parents et tous les humains »
Le Prophète (Paix et Salut sur lui) répondit : « c’est maintenant Ô Omar ».
L’amour du Prophète (Paix et Salut sur lui) est une partie intégrante de l’amour de Dieu, car c’est grâce à lui que l’on peut connaître notre Seigneur et que l’on sait comment arriver à Lui.
Dieu dit : « Aimez Dieu pour ce qu’Il vous comble en bienfaits et aimez-moi pour l’amour de Dieu »[28]
L’amour pour Dieu, doit en effet, se traduire par l’imitation confiante du Prophète (Paix et Salut sur lui). L’imitation gestuelle et superficielle ne suffit pas, il faut, en outre, l’imitation de l’intérieur et la sympathie du cœur.
Un homme, rapporte Aîcha l’épouse du Prophète (Paix et Salut sur lui), vint voir le Messager de Dieu et dit : « Tu es plus aimé de moi que ma famille et tous mes biens. Chez moi je me souviens de toi et je ne puis me retenir de venir et de te regarder. Mais j’ai pensé à ma mort et à ta mort et j’ai réalisé que lorsque tu rentreras au paradis tu seras élevé en compagnie des Prophètes et que si j’y rentre, je ne pourrai plus te voir. » Dieu révéla alors : « Celui qui obéit à Dieu et Son Messager sera avec ceux comblés du bienfait de Dieu dont les Prophètes, les véridiques, les martyrs et les pieux. Et quelle excellente compagnie ! ».[29]
Question de méthode
Il est très important aux musulmans de chercher dans le modèle du Prophète (Paix et Salut sur lui) les secrets de sa réussite éclatante. Comment a-t-il réussi à modifier la trajectoire de l’histoire dans moins de 23 ans, et ce, malgré l’acharnement de ses ennemis déclarés. Il a façonné leur cœur et l’a remodelé pour recevoir la luminescence de sa foi. Ces ennemis se sont transformés, après la découverte de l’islam, en meilleurs défenseurs.
Les musulmans, et l’humanité entière, sont appelés à redécouvrir le message universel de la vérité que nous a délivré le Prophète. Notre sous-développement, nos comportements inadéquats sur la scène et le tapage médiatique xénophobe, discréditent la Vérité dont nous sommes les dépositaires. Les agissements des musulmans -et même de certains savants- témoignent de la non assimilation de cette méthode, de la non inspiration de la philosophie de sa voie. On ne peut se limiter à un apprentissage rapide, superficiel et estropié de cette voie.
Il faut lutter contre l’ignorance totale de cette méthode comme il faut lutter contre la compréhension tronquée ou la lecture disparate des enseignements de l’islam.
Il faut donc poser la question de méthode, la voie du Prophète (Paix et Salut sur lui) : c’est aussi important que de savoir ce qu’est l’Islam. Nous ne désignons pas par méthode prophétique un sujet académique, une thèse, ou une synthèse où nous apprécierions sa ligne de pensée et son comportement pour satisfaire un appé !@#$%^&* intellectuel ; mais plutôt un mouvement, une dynamique et surtout une finalité et un cheminement volontaire, qui a un début et une fin, en passant par des étapes et des obstacles. La quête de la voie du Prophète et la recherche de ses jalons pour les suivre, doivent être le souci du musulman qui cherche à parfaire sa religion (ad-dine).
Le Prophète (Paix et Salut sur lui) a dit : « Dieu assigne pour la Oumma à la tête de chaque siècle, quelqu’un qui renouvelle sa religion (ad-dine) »[30]. Cette recherche perpétuelle, donc, ne serait-elle pas plus facile et plus rapide si l’on avait retrouvé des héritiers du Prophète (Paix et Salut sur lui), les dépositaires vivants de cette même lumière et de cette même méthode ?Conclusion
Le Prophète (paix et salut à lui) a laissé incontestablement après lui, une voie, un système, un héritage, complet et global d’enseignement, de conception, de culture mais aussi d’actions et de bel-agir. Un dépôt de trésors dont l’humanité a besoin, sans aucun doute, surtout à notre époque, qui se révèle à l’horizon porteur de beaucoup de surprises. Dieu dit : « Dieu ne changera pas les conditions de vie d’un peuple avant que celui-ci ne change les conditions d’être de son égo »[31]
Notes[1] Nous utilisons dans cet article, le mot Dieu à la place du mot arabe Allah, dans le but de faire signifier aux musulmans, comme aux non-musulmans, que notre Seigneur s’appelle Dieu en français, Allah en arabe et God en anglais. C’est une manière sage d’éviter les confusions dans l’esprit des gens car il s’agit toujours du même et unique Dieu. Les orientalistes ont longuement joué sur ce diapason. Après le 11 septembre, un journaliste a intitulé son article : « Dieu de Jésus contre Allah des Arabes ». Par ailleurs, regardons ce qu’ont écrit ces auteurs (Sue grabham et Tara Benson) dans le livre intitulé « l’encyclopédie des enfants », édition France Loisirs, année 1999, page 127 : « l’islam est la religion des musulmans. Ils croient en un Dieu, appelé Allah, dont les paroles ont été écrites par Mahomet dans le Coran. Ces musulmans prient dans la ville sacrée de la Mecque ».
[2] Coran, Sourate les Coalisés, Verset 31
[3] Hadith rapporté par Ibn Qayyim dans son livre les stations du cheminant (manazil assa-irin), d’autres versions du hadith ont été rapportées par l’imam Ahmed, Boukari, Bayhaqui.
[4] Rapporté par Ibn Al-Qayyim dans son livre Zad al Ma’ad
[5] Hadith rapporté par Attirmidhi
[6] Hadith rapporté par Al-Boukhari
[7] Hadith rapporté par Attirmidhi et Addarimi
[8] Hadith rapporté par Attirmidhi
[9] Hadith rapporté par l’Imam Moslim
[10] Hadith rapporté par Al-Boukhari et Moslim
[11] Coran, Sourate 68, Verset 4
[12] Rapporté par Ibn Qayyim dans son livre Zad al Ma’ad
[13] Hadith rapporté par le grand savant Al-Qadi ‘Ayyad dans son fameux livre Achiffa (La guérison)
[14] Hadith rapporté par Attirmidhi, Bayhaqui et Ibnou Kathir dans son livre Al-Bidaya wa An-nihaya
[15] Hadith rapporté par Attirmidhi
[16] Hadith rapporté par l’Imam Ahmed
[17] Tout ce qu’a été prescrit ou proscrit par le Coran a en effet trouvé son illustration pratique dans la voie du Prophète. Le comportement du Prophète est sa vie (Sirah) est la meilleure interprétation du Coran
[18] Hadith rapporté par Al-Boukhari et Moslim
[19] Hadith rapporté par Moslim
[20] Hadith rapporté par Attirmidhi et Moslim
[21] Hadith rapporté par Al-Boukhari, Ahmed et Ibnou Hibban, ce dernier l’a authentifié
[22] Hadith rapporté par Moslim et Ibn Hibban
[23] Hadith rapporté par Al-Boukhari
[24] Rapporté par Ibnou Al-Jawzi dans son fameux livre Sifat Assafwa
[25] Coran, Sourate La Famille d’Imran, Verset 31
[26] Hadith rapporté par Anas d’après Al-Boukhari et Moslim, un autre hadith similaire s’est passé avec Abou Dhar et rapporté par Al-Moundhiri dans son livre attar-rib wa attar-hib
[27] Hadith rapporté par Al-Boukhari et Moslim
[28] Hadith rapporté par Attirmidhi
[29] Hadith rapporté par Abou Bakr Al-Haïthamî dans Majma’ az-zawâ-id, Abou Nou’aïm dans son livre Hilyah Al-Awliyya
[30] Hadith authentique rapporté par Abou Daoud, Bayhaqui et Al-Hakim d’après Abou Hourayra
[31] Coran, Sourate Le Tonnerre verset 13